💡 Apnée du sommeil : le danger silencieux qui coupe le souffle

🌙 Quand la nuit s’arrête : un problème sous-estimé

En août 2024, suite à des examens réalisés par le Dr Sanfiorenzo, pneumologue, j’ai appris que je souffrais d’une apnée du sommeil sévère. Mon IAH (Index d’Apnées-Hypopnées) dépassait les 30 événements par heure de sommeil. Ce chiffre signifie que ma respiration s’arrêtait ou se réduisait plus de 30 fois chaque heure, pendant la nuit. C’est un seuil considéré comme critique selon les normes médicales françaises.

😴 30 arrêts respiratoires par heure… un chiffre qui interpelle

Ce diagnostic a mis en lumière des symptômes que je vivais sans les comprendre : fatigue constante, réveils non réparateurs, somnolence dans la journée. Le traitement par PPC (Pression Positive Continue) m’a été prescrit immédiatement. Cet appareil envoie de l’air sous pression pour maintenir les voies respiratoires ouvertes pendant le sommeil. Depuis, mes nuits sont bien plus stables, et mon état général s’en ressent positivement.

🚨 Dormir, mais suffoquer : un dépistage qui peut sauver

🛌 Ce que j’ai découvert, c’est que l’apnée du sommeil est une pathologie très répandue mais encore trop méconnue. Selon plusieurs études, entre 50 et 70 % des personnes atteintes ne sont pas diagnostiquées. Beaucoup dorment mal, sont épuisés, mais n’en connaissent pas la cause. Pourtant, un simple test du sommeil peut tout changer.

💡 Dans les cas modérés à sévères, notamment lorsque d’autres pathologies sont présentes (comme c’est mon cas), un traitement par PPC peut améliorer considérablement la qualité de vie. Il ne s’agit pas simplement de mieux dormir : il s’agit de préserver son cœur, son cerveau, son foie… et sa vie.

📦 Pour ma part, c’est la Société SOS Oxygène qui m’accompagne au quotidien. Elle assure la livraison, l’installation et le suivi du matériel respiratoire à domicile, avec une grande réactivité. Ce lien humain et professionnel fait aussi partie intégrante de la prise en charge.

📣 En partageant mon expérience, je souhaite informer et encourager le dépistage. Si ce que vous ressentez vous semble anormal, parlez-en. L’apnée du sommeil n’est pas une fatalité, mais elle ne doit jamais être ignorée.